MA VIE A L'ETRANGER (My life in foreign land)
Fourth Chapter
Ce fut un samedi le jour J de mon départ à
l’étranger. Pourrai-je oublier? Zemi
vint dans notre maison avec un grand sac au dos et deux autres en mains comme
un réfugié chassé de son pays. J’ étai totalement content de voir zémi prêt à
voyager. J’informai ma mère. Elle était aussi contente de voir zémi prêt pour
le voyage. Vraiment j’étais comme au
paradis ce jour là et mon cœur était remplide joie . avant De quitter la maison,
maman me reppalais les conseils qu’elle m’avait donnés ensuite elle me bénit en
disant: que dieu te bénisse et te protège mon enfant.Va en paix. A bientôt maman
fois
mille fois merci monsieur zemi.Àl’auto-gare de cotonou,nous avions pris un taxi
pour sèmé.Nous etions cinq dans la voiture. Je demandais à zemi où allons-nous
avec tous ces gens. Il me disait que nous allons tous à sèmè,C’est la frontière
entre la république du bénin et celle du nigéria
La frontière est une zone dangereuse,je
voyais beaucoup de monde. Les gens faisaient des va et vient et beaucoup de
bruit. Certaines personnes étaient en uniforme. Ma plus grande surprise est que
j’entendais les gens parler différent langues ah je suis perdu me disais je. Monsieur
zemi m’appela de côté en disant,ici c’est sèmè il y a beaucoup de bandits de
voleurs c’est une zone très dangereuse comme tu l’avais dit. Encore il me demandait
si je peux parler anglais ou yoruba. Je lui répondis qu’est ce qu’ on’ appelle
anglais?Hein! Mon petit dit-il, l’anglais est la langue officielle du nigéria
comme le français l’est au bénin pourquoi tu n’a pas dit tout cela à ma mère avant
que je te suive. Comment vais je vivre,comment vais je apprendre cette langue? Dis-je.C’est
sans probléme,l’anglais n’est pas difficile à apprendre,maintenant suis moi
réplique zémi.
Pendant que nous marchions pour traverser
la frontiére deux hommes nous interpelèrent en disant. Come here je demandais à
zémi ce qu’ils disent. Ils nous appellent, murmura t’il. En s’approchant
d’eux,ils me posaient des questions en anglais auxquelles je n’arrivais pas à répondre,
car je ne comprenais pas du tout ce qu’ils disaient. Immédiatement l’un d’eux
me gifla en disant: i dey talk you no go answer me?Idiot.Je criais police,police
au secours.Aussitôt il me gifla de nouveau je tombai à terre. Lorsqu’ils m’ont
vu tomber,ils disparurent. Zémi voulait réagir,mais on le poussa et il tomba
avec les sacs qu’il portait. Je me rappelais tout ce que ma maman m’avait dit
concernant ce pays.Oui j’ai choisi d’aller à l’étranger et voilà tout ce qui se
passe avec moi en chemin. La vie sur terre est une chaine d’expériences.
Après avoir traversé la frontière avec
toutes sortes de difficultés, nous entrions dans une autre voiture pour
continuer le voyage. En route je demandais à zémi: où allons-nous maintenant?
Il a mentionné le nom d’une ville que je n’arrivais même pas à répéter. Il me
racontait que les deux hommes qui ont fait du bruit avec nous sont des bandits
et beaucoup de ces gens n’ont pas de travail et que les gouvernments des deux
pays doivent prendre des précautions pour lutter contre ces gens-là
Après plusieurs arrêts nous arrivâmes
finalement à notre destination’makoko un village de lagos
Questions---....
·
Quel est jour de mon voyage?
·
Qui s dit j’étais comme au
paradis ce jour là?
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Quel est le nom de l’auto-gare?
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Nous étions combien dans le
taxi?
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La frontière est une zone de
paix .Vrai ou faux?
·
Est-ce qu’il y a beaucoup de
bandits à sèmè?
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Que disent les hommes qui nous
appelaient?
·
Combien sont ils?
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Qui criait police, police au
secours?
·
Dans quel village de lagos a
lieu notre destinaqtion?