Saturday 21 May 2016

The Sixth Chapter of MA VIE A L'ETRANGER (My life in foreign land) by Frere Honore M. Gomenou (B.S.S)



      LA VIE A MAKOKO

Nous sommes à Makoko. “Ici, c’est notre destination finale, nous allons rester ici pour travailler et avoir de l’argent,
            Makoko est l’un des villages de Lagos, une partie de ce village est située sur l’eau. Ici à Makoko, la majorité des habitants pratique la pêche et la plupart de ces pêcheurs sont du même pays que nous. Je me disais dans quell pays étranger je me suis trouvé? Comment vais-je mener la vie sur l’eau.
            Le lendemain, Zémi me fit inscrire dans une école appellee “Evening lesson” pour apprendre la langue anglaise. Mais je lui ai fait comprendre que cette langue est difficile à parler. “Zannou, répondit-il, je t’avais dit que l’anglais n’est pas difficile comme le français, il faut essayer de l’apprendre car la perseverance est la clé du succès”. Un grand défi pour moi donc. Comment je vais apprendre cette langue, je ne sais même pas parler français. Ok, sans problème! Comme il l’a dit” la perseverance est la cle la clé du succès”.
            Six semaines après, je peux mieux parler la langue et Zemi m’a trouvé un petit job. J’ai fait ce travail pour cinq mois. C’est le travail du “dry-cleaner” (pressing). Je suis employé dans la maison d’un home riche du nom de Sheun. Chaque jour, je lave ses habits, ceux de sa femme et de ses enfants, et je les repasse le soir avant de rentrer.
            Un jour, lorsque je repassais les habits, l’un des chemisiers préférés de sa femme est brûlé. Et, depuisce moment sa femme me voyait d’un mauvais œil. C’est une famille que j’aime beaucoup. Cette famille me traitait bien, je suis bien comme l’un de ses enfants et je suis bien payé. J’ai supplié la dame pour que je sois pardonné pour cette erreur mais elle n’en veut pas. La vie est devenue difficile pour moi dans leur maison. Je ne sais pas ce que je vais faire encore pour la supplier. Finalement, c’est avec de la peine que j’ai démissionné. Mais monsieur Zemi qui m’a trouvé le travail n’est pas content de cette demission. Pour lui, c’est de continuer à travailler dans cette condition peut-être, qu’ un jour la dame me pardonnerais.
            Après deux semaines de demission, je n’ai trouvé rien à faire. Ce qui sonnait dans mon cœur est le poème “Je suis le travail” que mon papa nous récitait sous l’arbre devant notre maison. Je me rappelais encore l’un des couplets:
“je ne suis pas ami des paresseux
Je voyage partout
M’abandonner, c’est inviter la faim.
Je suis très important”
            Après une petit réflexion, je décidai de faire la pêche. C’est aussi un bon travail, aller sur le lac et attraper des poisons avec le filet. Mais je n’ai aucune notion de la pirogue. Mes amis m’ont conseillé de l’apprendre, car petit à petit l’oiseau fait son nid. Vraiment la vie sur la terre n’est pas facile. Oui, nous devons travailler pour transformer la face de la terre. Sans le travail l’homme ne peut rien faire du tout. J’aime mon papa, il travaille beaucoup, c’est pouquoi il est devenu le plus grand fermier du village. Je dois suivre ses pas pour devenir un grand quelqu’ un moi aussi. Je disais tout cela pour me consoler.
            Depuis que je suis devenu pêcheur, Zemi n’est plus d’accord avec moi. Un jour, comme d’habitude, j’étais parti à la pêche avec mon ami Edy. C’etait aux environs de 22 heures. Un fait bizarre c’est produit que je ne peux oublier dans ma vie toute entière. Nous étions entrain d’attraper les poisons avec notre filet, soudain, une barque motorisée avec les gens en uniforme appelés “naval officers” (les officiers de marine), s’approcha. Ils nous dirent “cessez de lancer votre filet, nous sommes les officiers de la marine. Vous êtes arrêtés pour violation des règles de la mer”. “Quelle règle, a-t-on a violé à cette heure de la nuit? C’est contre votre loi de faire la pêche? Répliqua Edey. “Vous avez attrapé des petits poisons et c’est contre la loi, dit l’un d’eux. Nos voisins qui entendaient ce qui se passait avec nous ne peuvent pas arriver au secours, car ils ont peur. Certains d’eux sautaient dans l’eau. Ces officiers attachèrent notre pirogue à leur barque et nous conduisirent dans un endroit que je ne peux reconnaître. Pendant qu’ils nous conduisaient Edey m’a dit dans notre dialecte “mi zlon djé to” (ce qui veut dire, sautons dans l’eau). Je lui aid it: “je ne sais pas bien nager. Comment faire cela?
            Le lendemain, nous nous sommes retrouvés à la gendarmerie, accuses d’avoir attrapé les petits poisons du lac. Je ne peux même pas dire ce qui s’est passé avec nous la nuit où nous sommes comptés parmi les prisonniers. De plus, je ne peux pas compter combine de fois on m’a gifle; je suis compté comme des bridands de la prison. Qu’est-ce que j’ai fait de mal pour mériter cette punition?
Très tôt le matin, on nous donna des balais pour nettoyer toute la cour et ils nous surveillaient de près avec des batons en main comme des esclaves noirs que les Blancs maltraitaient autrefois dans leurs plantations de canne à signer. Le document se lit: “vous ètes arrêtés pour avoir capture les petits poissons du lac”. Mais Edey leur dit: “chers officiers de marine, quand le pêcheur lance son filet dans l’eau il attrape les grands et les petit poissons à la fois; comment il va dire aux petits poissons de ne pas entrer dans le filet”. ‘Tu es un imbécile, c’est comme ça qu’on parle à navy, tu ne respectes pas les gens, disent-ils”. De mon côté, je gardais silence parce que j’avais peur. Après avoir signé le document qu’ils nous ont remis de force, ils nous menacèrent d’enprisonnement si nos parents n’intervenaient pas en vingt-quatre heures. Immédiatement, je coullais des larmes en me rappelant de tout ce que maman m’avait dit concernant ce pays du Nigeria. Mais Edey me consolait de ne pas pleurer, que tout ira bien, qu’il est sûr qu’on a rien fait de mal. Je le félicite, il est un home courageux. Edey ne faisait que leur poser des questions sur ce que dit la loi et leur disait de ne pas oublier la justice divine dans les jugements. À ces mots, l’un des officiers le gifla et Edey tomba. Vraiment, Edey est un home courageux.
 
Lorsque je méditais toutes ces choses dans mon cœur, je vis Zemi et les gens de Makoko et j’appelai Edey que nos gens sont ici. Nous étions contents de voir nos gens de Makoko accompagnés du chef de village appelé “Bale”. Le chef du village et son équipe nous ont cherchés Presque dans toutes les prisons de Lagos Finalemnt on nous retrouva au poste de police de Obalende. Après tous les arrangements, ces officiers de marine nous ont liberés contre une grande somme.
 
            Après cet incident, je suis resté une semaine à la maison sans rien faire. Un jour j’ai appelé Zémi lui demandant de me trouver un autre job car la vie pour moi à Makoko devient dure et j’ai fini avec la pêche. Oui, mon petit Zannou, je vais essayer, m’a-t-il rassuré. Mais je devrai voyayer au nord du pays à kaduna pour un petit travail, et ne serai de retour qu’après trois mois. Quelle affaire! Aller à kaduna sans moi, n’est-ce pas ume trahison? Lui maanifestai-je. “Zannou”, dit-il, je ne vais pas t’abandonner comme tu le crois. Ma mission à Kaduna est de chercher du travail et si tout va bien je reviens te chercher. Mon trajet là-bas, c’est pour notre profit comprends moi. Je ne croyais pas que Zémi était sérieux. Après quatre jours, il a voyagé à Kaduna au nord du Nigeria comme prévu. Quelle situation! Je ne peux même pas imaginer pourquoi il a pris une telle decision. Ma vie à l’étranger n’est pas du tout facile, c’est une chaine d’expériences.
 
1.         Qui a dit: “ici est notre destination finale?
2.         Makoko est un village ou une ville?
3.         D’oùviennent ces pêcheurs?
4.         Est-ce que Zannou sait parler anglais?
5.         Quel est le premier travail que Zannou a fait?
6.         Quel probléme zannou a eu service?
7.         Est-ce que Zemi est content de la demission de Zannou?
8.         Qui nous a arrêtés lorsque je pêchais avec Edey au lac?
9.         Quelle est la cause de l’arrestation?
10.       Selon le texte, Edey est un homme courageux. Vrai ou faux.
 

FORGIVE ME. By Onuh Justus Izuchukwu

I was the man who misunderstood her intentions. She saw a Rose (flower) in my computer bag and she insisted in knowing who it is meant for...